près
de l’entrée déclose
sa
chair creusée par trop de vie s’exhibe
sur les
membres croisés
ses
verres fumés n’abandonnent
aux yeux du flâneur
qu’un
semblant
coiffé d’une touffe
orange
vif
Taisant les minutes
sans pratique
Magnifique poème, sincèrement !
RépondreSupprimermerci beaucoup Mr LF!
RépondreSupprimerj'aime la chute
RépondreSupprimermerci!
RépondreSupprimerJe l'ai changée il y a peu, j'ai supprimé un vers pour conserver cette fin.